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Une semaine pouaffiche-grande-evasion-web-page-001r parler, échanger, construire nos propres réponses face à la répression. Rompre l'isolement des inculpé.e.s. Rendre visible la répression pour s'organiser efficacement face à elle. Faire de la solidarité contre la répression un moment de la lutte et pas un espace en dehors du mouvement social

 

Une semaine de moments divers, d’ateliers, de débats, de projections, de bouffes de soutiens – penser ensemble 4 temps forts de la répression :

Le rapport à la policeLa Garde-à-VueLes procèsLa prison et les peines


Nous étions des milliers dans la rue : lycéen.ne.s, étudiant.e.s, travailleurs, travailleuses – avec ou sans emploi – syndiqué.e.s ou non.Nous faisons grève, occupons, bloquons et manifestons contre une nouvelle loi et le capitalisme qu’elle sert.

Nous subissons la violence de la police. Pour nous défendre face à des hommes et des femmes en armes, nous sommes de plus en plus nombreuses et nombreux à nous organiser et à nous protéger pour continuer à prendre part à la lutte sans risquer de blessures graves ou la mort. Il n’y a pas de « bavures » policières : il y a une logique de terreur pour maintenir l’ordre, politique, économique et social. Le lot habituel des habitant.e.s des quartiers populaires se révèle à tous. Nous détestons la police.

Nous subissons aussi la violence de la justice. Pour nous défendre face à des magistrat.e.s qui lancent des poursuites de plus en plus délirantes – jusqu’à perpète pour un croche-patte – soyons de plus en plus nombreux.ses à faire front. Il n’y a pas d’ « erreurs » judiciaires : il y a des lois, et des peines, pour maintenir l’ordre, politique, économique et social. Le lot habituel des habitant.e.s des quartiers populaires se révèle à tous. Nous détestons la justice.

Ni innocent.e.s, ni coupables, pensons ensemble notre défense


Tout le détail du programme ci-dessous